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La 100 000ième personocratia !!!

L’humanité est en train de vivre la plus grande transformation de son histoire, une véritable mutation qui donnera naissance à un règne nouveau sur terre, la diessité, et à un nouvel individu, l’être diessique.

Comme dans le « Phénomène du centième singe »*, il arrivera un moment critique où la bascule de la conscience collective se fera subitement, telle une épidémie d’amour, car seul l’amour est contagieux… Utopie ridicule ou évolution inévitable ?
 Toi seule le sait.

Quand verrons-nous le paradis-sur-terre ?
 Quand nous aurons atteint la masse critique de personocratias. Quand atteindrons-nous cette masse critique ?
 Quand il y aura un nombre suffisant de personnes conscientes se comportant en êtres diessiques dans leur vie quotidienne. Que se passera-t-il alors ?
 L’humanité passera subitement de l’inconscience animale à la conscience diessique. Comment le saurons-nous ?
 L’individu remplacera la guerre par la paix.
 La société passera de l’enfer-sur-terre au paradis-sur-terre.

Verrons-nous cela de notre vivant ?
 Tout dépend de nous, car notre création dépend de notre niveau de conscience. Que pouvons-nous faire pour y arriver ?
 Accélérer notre transformation individuelle et nous libérer de nos peurs. Laquelle des personocratias fera exploser la vieille conscience collective ?
 La 100 000ième !!!

* Le « Phénomène du centième singe » 

SingeVoici ce que révélèrent d’étonnantes observations anthropologiques japonaises, liées à l’étude en milieu naturel, pendant 30 années, des macaques de l’archipel des îles Okinawa Tô :

Dans l’île de Koshima, des scientifiques approvisionnaient les singes de patates douces qu’ils laissaient tomber sur la plage. Les singes aimaient bien le goût de la patate douce crue, mais trouvaient déplaisant de manger du sable.

En 1952, Imo, une jeune femelle de 18 mois, trouva la solution au problème en lavant les patates. Entre 1952 et 1958, les observateurs notèrent que les premiers à suivre l’exemple de la guenon furent les jeunes singes qui l’accompagnaient, de plus en plus nombreux, avec d’autres femelles. Les plus réticents furent les vieux mâles, rivés à leurs habitudes, qui observaient ce manège avec des grimaces réprobatrices.

Les années passèrent, et le processus continua lentement à s’amplifier jusqu’au jour où ce groupe atteignit une « centaine » d’individus. À l’automne de 1958, le « centième » singe apprit à son tour à laver ses patates, et c’est à ce moment que se passa un phénomène extraordinaire : toute la communauté bascula et l’ensemble de la société des singes adopta ce comportement. Plus extraordinaire encore, les scientifiques découvrirent, stupéfaits, que ce nouveau comportement venait de franchir l’océan d’un seul bond !

En effet, des colonies de singes occupant d’autres îles, et même la troupe vivant sur le continent dans la ville de Takasaki, commencèrent eux aussi à laver leurs patates douces ! L’addition de « l’énergie mentale » de ce « centième » singe créa donc une véritable percée idéologique, une révolution culturelle inattendue.

La nature elle-même délivrait ce message : lorsqu’un certain nombre d’individus atteint un niveau de conscience, celui-ci peut être transmis d’un individu à l’autre !
Même si le nombre exact d’individus touchés par ce changement peut varier, le « Phénomène du centième singe » demeure le même. Lorsqu’un nombre restreint de personnes apprend une nouvelle façon de penser, de vivre et d’agir, ce nouvel apprentissage reste connu des seuls initiés. Cependant, il suffit alors qu’une seule personne parvienne à son tour à cette nouvelle conscience, pour que celle-ci atteigne tout le monde !

* Cette histoire provient du livre The Hundredth Monkey de Ken Keyes, Jr.