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2005

En route vers l’amour infini et l’immortalité

En route vers l’amour infini et l’immortalité

Voici une interview de Ghislaine faite par le magasine Santé Nature.

Santé Nature Mag : Ghislaine Saint Pierre Lanctôt, dans vos ouvrages(1) vous parlez d’immortalité. C’est une donnée bien abstraite sur cette planète qui connaît des milliers de morts chaque jour. Nous voulons bien que l’âme soit immortelle, mais le corps ? Qu’entendez-vous par là ?

Ghislaine St-P. Lanctôt : Nous nous sommes incarnés sur cette planète afin de nous accomplir ; c’est-à-dire que l’esprit incarne la matière et qu’ils ne fassent plus qu’un. Lorsque l’unité sera accomplie, la matérialisation et dématérialisation se fera instantanément et à volonté. C’est cela que j’appelle l’immortalité.

SNMag : Mais nous mourons inéluctablement, comment allons-nous opérer ce changement vers l’immortalité ?

G. L. : Depuis des millénaires, l’homo sapiens va dans la même direction, celle de la vieillesse et de la mort, sans jamais remettre sa direction en cause. Et si c’était faux ! Sommes-nous vraiment faits pour mourir? La mort est-elle inéluctable? Sommes-nous des êtres mortels, condamnés à travailler, souffrir, vieillir et mourir?

L’humanité est dans un cul-de-sac politique, économique, social sans précédent. Non seulement les choses ne s’arrangent pas, mais elles empirent et semblent sans issue. Nous nous acheminons vers notre destruction. Que diriez-vous de stopper et de se remettre en question, en tant qu’individu et en tant que société ?

De quoi mourons-nous, au fait ? De maladie, de vieillesse, d’accident ? Non,  » nous mourons de peur et d’épuisement « , nous dit Hamer(2). Nous mourons de la peur de mourir et de tous nos combats pour repousser la mort le plus longtemps possible, pour finalement y succomber. Parce que nous sommes dans un mode de survie, une biologie animale automatique dont le seul but est d’assurer la survie de l’espèce. Comme l’animal, nous vivons dans la peur constante de ce qui va nous arriver. Nous épuisons toute notre énergie à assurer notre sécurité et nous protéger de l’ennemi extérieur. Sommes-nous vraiment des victimes impuissantes d’un destin créé par une main toute-puissante extérieure à nous ?

SNMag : Pourtant, nous avons connu déjà la félicité au paradis terrestre, avant qu’Ève et Adam n’en fussent chassés pour avoir mangé le fruit défendu de l’arbre de la connaissance du bien et du mal… Que s’est-il passé pour que nous soyons condamnés à « gagner notre vie à la sueur de notre front »?

G. L. : Depuis ce temps-là, nous expérimentons la dualité, la séparation, la division, la guerre. Nous recherchons le bonheur du paradis perdu. Certes, nous améliorons nos conditions de vie, notre confort, nos capacités technologiques… mais, malgré cela, nous plongeons de plus en plus profondément dans l’enfer-sur-terre. Guerres, misère, maladies, morts, cataclysmes, violence, génocides, pollution, lois coercitives, perte de pouvoir, impuissance face à la mondialisation, colère, souffrance… vont en augmentant. Nous sommes sous le diktat de L’Argent qui mène le monde et ne voyons pas comment en sortir.

SNMag : Se pourrait-il que nous soyons dans la mauvaise direction ?

G. L. : C’est bien là où je voulais en venir ! Se pourrait-il, si nous nous dirigeons droit vers notre destruction, qu’il soit urgent de nous arrêter, de marquer une pause et de faire un virage de 180 degrés, pour repartir dans la direction opposée ? Arrêtons de continuer à aller dans le même sens en tentant d’améliorer, « de faire un monde meilleur » avec « plus de justice sociale », rendre l’enfer-sur-terre plus supportable ou moins insupportable… en attendant de mourir ! Non ! C’est la direction diamétralement opposée qu’il faut prendre. Il nous faut tourner le dos à la peur qui nous nourrit et assure notre survie : mourir à la peur.

SNMag : Oui mais, comment ?

G. L. : En procédant à un changement complet de tout ce que je faisais -par peur- et en les faisant par amour-pour-moi. Car seul l’amour guérit. Ainsi nous repartons dans la direction opposée, celle de l’immortalité, celle que prend la personne consciente de qui elle est, un être créateur illimité.

SNMag : A vous entendre, il suffirait d’aimer pour tout changer ! Cela parait facile !

G. L. : Oui, mais c’est de l’amour de Personocratia(3) dont je parle. Celle qui se souvient de qui elle est, à la fois créatrice et créature. Elle crée son corps, une émanation matérielle de son esprit. Elle a toujours été et sera toujours, elle est éternelle. Elle sait que le temps n’existe pas et que tout se déroule au moment présent. Ses expériences, elle les crée à son image et sa ressemblance et fait la paix avec ses créations. En elle, la séparation cède la place à la communion, la guerre à la paix, la souffrance à la joie, l’impuissance à la toute-puissance, la maladie à la santé, la mort à l’immortalité physique.

En ayant fait demi-tour, elle devient consciente d’être créatrice, elle quitte la peur du créateur extérieur ainsi que les rôles tantôt de victime, tantôt de coupable, tantôt de sauveur qu’elle jouait dans la grande pièce de théâtre du drame humain. Elle cesse de se nourrir de peur, peur de perdre ce qu’elle a ou peur de ne pas avoir ce qu’elle veut. Elle jouit du moment présent et cesse de se priver pour ses vieux jours. Elle largue les amarres de l’attachement matériel et familial. Elle ne se préoccupe plus des lois et obéit à la véritable autorité, celle de sa conscience. Elle ne souffre plus de voir les autres souffrir, elle les informe que l’enfer-sur-terre n’existe pas, que c’est une illusion que nous créons parce que nous avons oublié…qui nous étions.

Elle leur rappelle qui nous sommes réellement, amour infini, créatrices illimitées. Les unes après les autres, les Personocratia s’éveillent à leur véritable nature, font un stop, demi-tour, et repartent dans la direction de l’immortalité, celle de notre vraie identité, celle qui mène au paradis-sur-terre, la réalisation de notre quête de l’absolu, ce pourquoi nous nous sommes incarnées.

(1) La Mafia Médicale et Que diable suis-je venue faire sur cette terre ?
(2) Dr. Hamer, découvreur de la Médecine Nouvelle
(3) La Personocratie est le règne de la personne souveraine

La grève étudiante

La grève étudiante

Voilà déjà quelques semaines que se joue l’épreuve de force entre le gouvernement – le berger – et les étudiantes/étudiants – les moutons-. Le berger a réduit la ration et les brebis bêêêlent, protestent, se fâchent, crient leur colère, revendiquent leur dû, réclament justice… et l’argent manquant. On appelle cela FAIRE LA GRÈVE.

* Se pourrait-il que les études vous aient fait perdre la mémoire ?
Avez-vous oublié qu’il s’agit d’une tragédie dans laquelle le gouvern&ment joue un rôle de BERGER dont la fonction est de tondre les moutons au maximum, jusqu’à ce qu’il n’y ait plus de laine, puis de les conduire à l’abattoir ?

* Se pourrait-il que les études vous aient fait perdre le bon sens ?
Croyez-vous encore que le berger est au service de la population; que public veut dire au service du peuple; que démocratie veut dire sous commandement populaire ?

* Se pourrait-il que les études vous aient fait perdre votre calcul mental ?
Pensez-vous que les milliards de dollars amassés en impôts et taxes ne suffisent pas à payer LARGEMENT les services dont a besoin la population ?

* Se pourrait-il que les études vous aient fait perdre votre dignité humaine ?
Comment pouvez-vous accepter l’endettement qui fait de vous des esclaves permanents, vous, êtres divins tout-puissants et libres ?

Si vous répondez OUI à une seule de ces questions, le diagnostic est clair : vous êtes allés à l’école* trop longtemps. Dépêchez-vous d’en sortir et allez apprendre à VIVRE la vraie VIE, celle qui convient à qui vous êtes réellement, des juments ailées illimitées.

Vous serez alors débordant(e)s de gratitude envers le premier ministre Jean Charest, le berger qui a coupé les vivres à ses moutons pour assouvir encore un peu plus l’appétit insatiable des banquiers internationaux, ses patrons.

Main dans la main, moutons blancs résignés et moutons noirs révoltés marcherez dans la rue en chantant, à l’unisson, l’hymne du mouton libéré :

Ave Johnny !
Ton insatiabilité
Nous a sauvés
De l’esclavage à perpétuité
Où nous étions enlisés
Ave Johnny !

* École, manufacture de moutons blancs.

Le pape JEAN-PAUL II est mort

Le pape JEAN-PAUL II est mort

Partout on pleure le bon pape qui, après 26 ans de règne épiscopal, « va rejoindre son père ». Discours politiques émouvants, témoignages poignants, deuil évident. « On sent un vide, car Jean-Paul II a occupé une grande place dans notre vie ».
Qui est Karol Wojtyla, 262e pape de l’Église catholique ?

Il est un INNOVATEUR
Premier pape non-italien en 456 ans, premier polonais, il se distingue par un comportement nouveau. Il a beaucoup voyagé et a visité 125 pays. Il se laisse approcher, toucher même. Il embrasse les enfants et aime les jeunes. Orateur charismatique, il attire les foules : 800 000 personnes à Toronto, 4 000 000 à Manille. Pour tous, il a une attention particulière. Promoteur du respect de la personne et de la progression des droits de l’Homme, défenseur de la paix et de la liberté, rassembleur des peuples et des confessions, il bénit l’humanité au nom de Dieu. Il entretient de bonnes relations avec les dirigeants des pays. C’est l’homme le plus médiatisé de la planète.

En même temps, on entend dire qu’il est « un homme de paradoxe« .

Il est un CONSERVATEUR
Sous son règne, la Curie a renforcé son pouvoir. Il ne tolère aucune dissidence dans l’Église. Il n’écoute pas et rejette le débat. Il est inflexible aux demandes. Il dit NON à la modernisation : contrôle des naissances, accès des femmes au sacerdoce, mariage des prêtres (malgré les 10 000 poursuites judiciaires pour abus sexuels intentés contre l’Église américaine), divorce, homosexualité.

On ne peut non plus passer sous silence qu’il succéda à Jean-Paul I, assassiné* après 33 jours de pontificat, pour avoir voulu redresser les travers de son Église et de quelques-uns de ses hauts dignitaires. Or, le Vatican n’a jamais cessé, même encore aujourd’hui, de parler de « mort naturelle », heure inconnue, cause inconnue…. Silence sur la disparition brutale du « pape souriant », homme de 65 ans en très bonne santé. Silence également sur les causes et les circonstances de son assassinat. Aucun des changements envisagés par Jean-Paul I n’est entré en vigueur après sa mort. Jean-Paul II a permis que la situation corrompue de son Église continue :

♦ La Vatican Entreprise S.A. (Banque du Vatican) avec son chef, l’évêque Paul Marcinkus, furent maintenus en place.
♦ Le Cardinal John Cody de Chicago garda son poste malgré des milliers de pétitions signées pour demander son remplacement.
♦ Les Francs-Maçons du Vatican (dont la fameuse loge maçonnique P2) retrouvèrent la tranquillité. Le nouveau droit canonique qui entra en vigueur le 27 novembre 1983 a abandonné la règle selon laquelle les Francs-Maçons sont soumis à une excommunication automatique.
Et où se situe Jean-Paul II lorsque, d’un côté il dénonce le capitalisme et l’exploitation des pays pauvres et, de l’autre, il donne sa bénédiction au Nouvel Ordre Mondial des Illuminati, dans ces termes : « On sent toujours la nécessité d’un Nouvel Ordre International basé sur l’expérience et les résultats obtenus au cours de ces années par l’Organisation des Nations-Unies » ??? (1er janvier 2004)

Paradoxe ou inconscience ?

QU’EN DIT PERSONOCRATIA ?
Ni l’un ni l’autre. Jean-Paul II connaît son rôle de pape et le joue à la perfection. Le pape est le chef spirituel de l’Église catholique romaine avec un contrôle sur 1 milliard 100 000 âmes. Il est aussi le chef temporel de l’État du Vatican, au même titre que la reine en Angleterre et que le président aux USA. Tous trois sont des marionnettes activées par des mains invisibles auxquelles elles obéissent au doigt et à l’oeil. Tous trois ont des fonctions identiques, celles de Bon Pasteur, qui consistent à :

♦ Tondre les moutons jusqu’à ce qu’il n’y ait plus de laine.
♦ Puis les conduire à l’abattoir.
♦ Et leur faire croire que c’est pour leur bien.
La fonction de marionnette est très précise. Ou bien tu joues correctement ton rôle, tu amènes les moutons dociles à la tonte et l’abattoir, et tu gardes ton poste longtemps – c’est le cas de Jean-Paul II. Ou bien tu te soucies de tes moutons, veilles à leur bien, et tu es expulsé par les patrons – c’est le cas de Jean-Paul Ier.

Oui Karol Wojtyla avait compris les règles du jeu depuis longtemps. D’où son ascension rapide comme jeune ecclésiastique dans la hiérarchie de l’Église; d’où sa nomination comme cardinal à 47 ans; d’où son élection comme pape à 58 ans… pour qu’il dure longtemps et que la Curie puisse gérer à sa guise, sans bâtons dans les roues, comme elle venait d’en avoir avec Albino Luciani, le pape Jean-Paul 1er, qui croyait en une Église dévouée à ses fidèles et, tout particulièrement, aux pauvres.

Le paradoxe apparent de Paul II tient à l’exécution de sa fonction de pape :
♦ attirer le plus grand nombre de fidèles en les amadouant par des visites chez eux et en les séduisant par des discours charismatiques;
♦ maintenir les fidèles dans la croyance d’être de pauvres créatures impuissantes, séparées d’un dieu créateur extérieur;
♦ assurer leur soumission et leur obéissance aveugle à ses représentants sur terre sous peine de n’avoir pas accès à son paradis;
♦ garantir ainsi l’hégémonie de l’Église sur l’âme de plus d’un milliard de personnes sur la planète.
Mission accomplie !

Et qui sont les marionnettistes ? Les patrons du monde, les Illuminati, ceux qui concoivent le Plan et qui veillent à mettre en place leur dictature mondiale, le Nouvel Ordre Mondial. Ils confient le business du corps aux politiciens et le business de l’âme aux religions. C’est ainsi que chefs politiques et ecclésiastiques travaillent main dans la main pour la même cause, la domination et l’exploitation des populations. Pour ce faire, l’un et l’autre se prétend représentant de Dieu sur la terre et transmetteur de la volonté de ce dernier. Ils font les lois qui ordonnent aux moutons de se faire tondre, sinon… ils auront des coups de bâton ou, pire encore, iront en enfer pour l’éternité.

Voilà des milliers d’années que ça marche. Et ça continuera tant que nous nous prendrons pour des moutons, pauvres créatures d’un père créateur extérieur, celui-là même que Jean-Paul II est parti retrouver…

* « Au nom de Dieu« , de David Yallup, 1984, Christian Bourgeois Éditeur, ISBN 2-266-01631-8

2005-04_pape_jean-paul_pyramideL’oeil qui voit tout, l’oeil de Dieu qui sait tout et surveille toutes ses créatures de la pyramide tronquée…
C’est la séparation entre l’esprit créateur (Dieu) et la matière créée (être humain)
qui amène la division de l’individu et permet la mise en place du
Nouvel Ordre Mondial (Novus Ordo Seclorum), dictature mondiale de L’ARGENT.

WALMART, le Goliath du commerce de détail

WALMART, le Goliath du commerce de détail

« À compter du 6 mai, Walmart fermera son magasin de Jonquière, le premier syndiqué de la chaîne en Amérique du Nord », annonçaient les journaux, le 10 février 2005. L’émoi est grand parmi les employés des autres magasins qui ont peur que le géant Goliath leur retire, à eux aussi, le pain (rassis) de la bouche, s’ils montrent le moindre signe d’insoumission. La population s’indigne soit par sympathie avec les employés qui perdront leur maigre pitance (emploi mal rémunéré), soit par colère contre le géant qui ne respecte pas les règles du jeu, soit parce qu’ils devront aller plus loin pour continuer à nourrir leur très grave maladie, « L’HYSTÉRIE DU BAS PRIX ».

Qu’est-ce que Walmart ?

C’est le modèle géant de notre système de commerce entre humains.2005-03_wal-mart_goliath

OUI, il est géant, de taille au-delà de la normale. C’est le plus grand détaillant du monde. « Plus gros que le gouvernement canadien », s’exclame-t-on. Avec des revenus annuels de 320 milliards $, des profits annuels de plus de 10 milliards de $, l’entreprise américaine multinationale – dont un cinquième est basé dans neuf pays étrangers – compte 1 500 000 employés. Ces derniers sont appelés des « associés » et touchent le salaire minimum. Ils doivent obéissance aveugle et n’ont pas le droit de se syndiquer. Étonnant qu’il y ait autant d’employés… Voilà la loi de Goliath. Elle fait trembler petits, moyens et grands.

NON, il n’est pas différent des autres commerces.

Il est basé sur la concurrence, l’élimination de l’autre.
Il vise le monopole, l’élimination de tous les autres.
Il a un seul but, les profits-à-tout prix, pour attirer et conserver ses investisseurs.
Il baigne dans la dualité animale : ou je domine l’autre ou je suis dominé.
Il se nourrit de la même potion mortelle que toute l’humanité, la PEUR.
Seule sa taille – et la suffisance qu’elle lui procure – nous le font remarquer. Il se permet tout, même une arrogance désinvolte. Après tout, gigantisme oblige !
On cherche un bouc émissaire, un méchant loup responsable, COUPABLE de la fermeture de Walmart. On en trouve plusieurs : la compagnie manipulatrice, les patrons exigeants, les employés rebelles, les chefs syndicaux maladroits… On cherche toujours à l’extérieur de soi. Et si on regardait à l’intérieur de soi, peut-être y trouverait-on non pas un coupable, mais le CRÉATEUR du monstre commercial.

Walmart est le format géant, le miroir grossissant de notre système de commerce que nous créons, nous humains, à notre image et notre ressemblance. Il nous permet de voir sur grand écran les manifestations de notre INCONSCIENCE SOCIALE. Il nous fait voir les conséquences de notre comportement de pauvres moutons peureux :

investissement à la bourse avec rendement maximum;2005-03_wal-mart_mouton_noir
intérêt sur l’argent, outil de la disparité sociale;
acceptation de l’inacceptable : emplois, salaires, perte d’identité, soumission…
insouciance de l’exode des capitaux locaux vers l’étranger;
abandon de nos commerces locaux au profit des multinationales;
« hystérie du bas prix » qui force le manufacturier à couper sur tout et sur tous;
peur de manquer, peur de se respecter, peur de mourir, PEUR, PEUR, PEUR !
QU’EN DIT PERSONOCRATIA ?
Personocratia se réjouit de la belle opportunité de transformation personnelle que lui fournit le géant Goliath. Elle transforme la merde en or.

La fermeture de Walmart est l’occasion idéale pour les employés de sortir de leur condition d’esclaves. Non seulement d’esclaves de Walmart, mais d’esclaves de tout autre employeur. Parce qu’un 2005-03_wal-mart_tranforme_merde_en_oremployé est, par définition, un esclave, propriété du gouvernement, et prêté à l’employeur contre déductions à la source obligatoires. Or, l’être humain est créateur illimité. Walmart lui fournit le coup de pouce (ou de pied) qu’il lui fallait pour retrouver SA VRAIE NATURE, sa dignité, et créer son activité à lui. Peut-on imaginer Diesse aller quêter un emploi ?…

La fermeture de Walmart est l’occasion idéale pour les acheteurs de Walmart de mettre fin à leur « hystérie du bas prix », cercle vicieux de l’appauvrissement perpétuel des pauvres et de l’enrichissement sans fin des riches. Avec Walmart, l’acheteur bénéficie de la démonstration sur grand écran des résultats mortels de la peur de manquer et de la prostitution de l’âme qui l’accompagne. Il prend aussi conscience de sa toute-puissance. C’est lui et lui seul qui a LE VRAI POUVOIR. Pas de clients, pas de Walmart !

La fermeture de Walmart est l’occasion idéale pour toutes les citoyennes et tous les citoyens de retrouver leur amour-pour-soi et d’ACHETER LOCAL : des produits locaux, vendus dans des magasins locaux, appartenant à des propriétaires locaux.. Finies les multinationales et leurs importations, finies les chaînes et leur domination, finis les centres d’achats et leur exploitation. Fabricants, industriels, manufacturiers, agriculteurs, distributeurs, commerçants, et consommateurs connaîtront enfin prospérité, richesse, contact humain, partage, joie, santé… et le paradis SANS la fin de nos jours !

2005-03_wal-mart_achete_local

Ce qui nous semble aujourd’hui un géant impitoyable et incontournable nous apparaîtra demain tel qu’il est réellement, une illusion de la force et du pouvoir. Comme Goliath, le géant Walmart disparaîtra sous le tire-pois de David, un être déterminé et sans peur, conscient de sa toute-puissance.

Alors WalMORT ne sera plus qu’un fantôme, souvenir du cauchemar que vécut un jour l’humanité inconsciente de sa vraie nature divine illimitée.