Skip to main content
Yearly Archives

2012

La Grande Évacuation

La Grande Évacuation

Une invitation lancée par la Sécurité publique du Québec à toutes les familles du Québec d’évacuer leur demeure, le même jour, au même moment.

Voilà donc que le gouvern&ment appelle tous ses citoyens à « exercer leur plan d’évacuation » et à « se rendre à leur point de rassemblement ». Que se passe-t-il donc ? Rien de particulier, nous dit-on, seulement un exercice d’évacuation en cas d’incendie. Et pourtant, cette pratique touche toute la province et comporte deux phases : évacuer les lieux et se regrouper ailleurs. Bizarre !

semaine_incendie_170Notre père l’État craint-il que ses enfants soient trop stupides pour sortir de la maison si elle prend feu ? Et pourquoi étendre la pratique à tout le Québec ? Le feu ne peut prendre dans toute la province en même temps ! Ça ne semble pas avoir de sens.

Pourtant, la Sécurité publique y tient mordicus et ne ménage rien pour réussir son projet : campagne soigneusement orchestrée, dépliants informatifs et important matériel promotionnel, grande propagande médiatique, présence policière nombreuse, collaboration active des pompiers, participation financière des assurances, mise en garde à l’ensemble des automobilistes de ne pas écraser les enfants lors de l’événement, affichage intensif dans les restaurants et les établissements ciblés – qui attirent une clientèle familiale –, bulletins conçus pour sensibiliser les enfants de trois à huit ans dans les garderies et les écoles primaires… Allez, tout le monde à la rue, on vous emmène !

À bien y penser, ce plan a été concocté il y a longtemps. Rien n’arrive par hasard en politique. D’ailleurs, depuis environ deux ans, les pompiers entrent dans les demeures en prétextant y vérifier les installations reliées aux incendies et en enjoignant les habitants du domicile de faire un plan d’évacuation. Cette intrusion se fait avec insistance, voire même menace en cas de refus. « C’est un service qu’on vous offre pour votre sécurité », répètent-ils. De plus, on peut noter un affichage intensif un peu partout le long des routes depuis plus d’un an. Que se cache-t-il derrière cette initiative ? Ça semble louche.

Nous assistons à une technique de « programmation prédictive » qui consiste à présenter de façon répétitive des images, des lieux, des expériences, des comportements, des situations inusitées. À force de les voir ou de les faire, les gens s’habituent à ces nouveautés et finissent par les trouver normales. Ainsi programmés, ils agiront conformément à ce qu’on leur a inculqué, le moment venu. Le moment de quoi ?

La question est la suivante : qu’est-ce que les autorités ont planifié qui exige une évacuation et une relocalisation de toute la population ?

QU’EN DIT PERSONOCRATIA ?

Tout d’abord, Personocratia constate que la proposition gouvern&mentale repose sur la peur… la peur du feu et tout le contrôle de protection et de prévention qu’elle génère. Or, l’agrégation de plusieurs personnes qui vivent la même peur en même temps crée un égrégore énergétique qui se nourrit des émotions des personnes présentes. Bon souper en perspective !

De plus, Personocratia est consciente que le gouvern&ment est toujours au service de L’ARGENT (banquiers et multinationales). La fonction de l’État consiste à exploiter le peuple en lui faisant croire que c’est pour son bien. Par conséquent, Personocratia sait que toute initiative étatique est conçue pour la défavoriser. Si, en plus, la proposition des autorités ne tient pas debout, elle a la puce à l’oreille et s’en méfie. Et si, plus encore, l’État lui chante une sérénade de sécurité et/ou de protection, elle s’enfuit.

N’étant pas dans le secret des autorités, Personocratia ne connaît pas toujours le programme qui est élaboré dans l’ombre. Mais elle a une recette infaillible : « Quand l’État te dit de tourner à droite, tourne à gauche et tu ne feras pas d’erreur. Si l’État te dit de tourner à gauche, tourne à droite et tu prendras la bonne direction. »

Voilà pourquoi Personocratia ne participera pas à La Grande Évacuation le mercredi 10 octobre 2012, à 19 heures.

Les moutons « s’en-vont’aux » urnes

Les moutons « s’en-vont’aux » urnes

Le 4 septembre 2012, les moutons québécois sont invités à aller voter, c’est-à-dire à mettre un crochet à côté du nom d’un des bergers désignés par le propriétaire de la bergerie. Imaginez-vous le privilège qu’on leur fait de choisir celui qui, pour les prochaines quatre années, va les tondre jusqu’à ce qu’il ne reste plus de laine puis les conduire à l’abattoir… en leur faisant croire que c’est pour leur bien !

Certains moutons iront avec rancœur, se souvenant des méfaits du berger sortant. Ils en choisiront un autre, espérant que ce sera mieux – il l’a promis ! D’autres moutons auront oublié – ou pardonné – les mensonges, les trahisons, les corruption et l’exploitation du berger passé et lui accorderont leur confiance à nouveau. Mêêê tous les moutons espèrent que le prochain berger améliorera leur sort.

Or, le berger, quel qu’il soit, n’est qu’une marionnette obéissant aveuglément au diktat du propriétaire de la bergerie, L’ARGENT. Il est grassement récompensé pour dominer et exploiter les moutons au maximum, au profit de son patron. Le meilleur candidat est certes le plus menteur qui arrive à enjôler les moutons et leur faire croire à ses promesses, sachant qu’il n’a aucun pouvoir décisionnel. Les médias, propriété de L’ARGENT, favoriseront la candidature du berger déjà sélectionné par leur maître, en faisant semblant d’être neutres. Et pourtant, eux aussi obéissent aveuglément aux ordres du propriétaire de la bergerie.

Quant aux moutons, ils sont ignorants et inconscients de leur identité véritable. Ils se prennent pour de pauvres créatures impuissantes. Ils ont peur et recherchent sécurité et protection auprès du faux pouvoir extérieur – la mafia officielle. Ils le paient fort cher. D’autant plus que  le propriétaire mondial a élaboré une politique d’appauvrissement et d’asservissement total de toute la population de la planète.

Mêêê le mouton veut continuer à croire à ses rêves de bon pasteur plutôt que de s’affranchir et s’assumer. Il choisit de se laisser tondre et manger, puis de quêter les restes à ses maîtres. Il votera pour celui qui lui semble le moins mal…car, croit-il, le gouvern&ment est un mal nécessaire. Vraiment ? Il ne lui vient même pas à l’idée qu’il pourrait ne pas être un mouton.

QU’EN DIT PERSONOCRATIA ?

Personocratia se souvient de qui elle est et se comporte comme telle. Elle sait que l’autorité suprême – la souveraineté – est intérieure et qu’elle seule détient le pouvoir véritable. Elle est consciente de la signification de ses actions :

VOTER, C’EST ABDIQUER SA SOUVERAINETÉ !

En votant je renie mon identité, je cède mon pouvoir et mon argent à des  autorités extérieures, je refuse d’assumer la toute-puissance de l’être souverain que je suis.
Bref, je renonce à mon libre arbitre et je consens à demeurer dans l’illusion mensongère de la démocratie. Je choisis l’esclavage volontaire de l’animal, je décide de rester la propriété d’un État sanguinaire et insatiable. Rien de nouveau. Les Grecs ne disaient-ils pas : « L’homme est le bétail des dieux » ?

Par conséquent, Personocratia continuera de se comporter en individu souverain et n’ira pas aux urnes le 4 septembre. Elle ne votera pas et n’annulera pas non plus son vote pour signifier son mécontentement aux autorités. La seule autorité est intérieure et c’est à son âme qu’elle obéit, sa souveraine véritable. Son ego essaiera de la convaincre du contraire avec mille bonnes raisons dont la sempiternelle rengaine : « C’est ton devoir de citoyen. » Rien ne la fera changer sa conduite. Elle a quitté le monde de mensonge et son allégeance va dorénavant à la conscience-de-vérité.

Ghis nous parle de Personocratia

Ghis nous parle de Personocratia

Ghis sur TV Sois !

Tant que la perception de l’être humain se situe dans son corps mental – ou même son corps « spirituel » –, il ne peut concevoir ce qui est AU-DELÀ de son vieux monde illusoire limité. Il n’arrive pas à comprendre la démarche radicalement innovatrice et originale de Personocratia. Il s’évertue à reproduire le passé en essayant, tout au mieux, de l’améliorer.
Or, Personocratia ne reproduit pas, elle crée. Elle fait «STOP & 180°» à la vieille évolution. Elle coupe ses attaches au passé, largue ses habitudes, ses désirs, ses croyances, et s’engage sur un chemin sans chemin, à la découverte de l’être créateur qu’elle est réellement.

[row] [span2][/span2] [span4]

[/span4] [/row] [spacer]

Cette entrevue est traduite en italien : GHIS CI PARLA DI PERSONOCRATIA

[row][span2] [/span2] [span4]

[/span4] [/row]

Pour ou contre la hausse des frais de scolarité ?

57_thumb

Pour ou contre la hausse des frais de scolarité ?

Dernièrement, alors que la grève étudiante québécoise atteignait son paroxysme, une femme me demanda en braquant sur moi des yeux inquisiteurs et menaçants : « Êtes‐vous pour les étudiants ou pour le gouvernement ? » Quel ne fut pas son désappointement en entendant ma réponse : « Ni l’un ni l’autre ! »

Je refuse toujours le piège dualiste qui donne à choisir entre deux réponses indésirables. C’est comme si on me demandait : « Veux‐tu une gifle au visage ou un coup de pied au derrière ? » ‐ « Aucun des deux, merci ! » Les autorités sont championnes dans cet art manipulateur. Par exemple, l’État fait semblant de donner le droit de décision au peuple en lui proposant soit d’augmenter les impôts et taxes soit de réduire les services. Et, pendant que le débat fait rage, il fait l’un et l’autre. Il atteint ainsi son but : éviter la question essentielle en amenant les gens à se battre pour des sujets d’importance secondaire.

L’essentiel, c’est le manque d’argent. Les coffres sont vides.

  • Où donc vont les milliards perçus des contribuables ? La réponse dont on ne parle pas est la suivante : directement et totalement dans les poches des banquiers internationaux par le truchement de la banque centrale du pays.
  • À quoi servent‐ils? À payer les intérêts de la soi­‐disant dette nationale.
  • Y a‐t­‐il vraiment une dette nationale ? Non ! Aucune monnaie véritable n’a été prêtée. Que des écritures ! Que du vent ! Voilà comment l’État transfère le fruit de notre labeur aux banquiers et aux corporations multinationales. Ce n’est ni bien ni mal. La fonction d’un gouvern&ment, par définition, consiste à prendre l’argent des pauvres et à le donner aux riches, en leur faisant croire que c’est pour leur bien. Son nom le dit : il gouverne et ment. C’est clair et il s’en acquitte dûment. Ce qui est étonnant, c’est que nous nous en offusquions et que nous fassions pression pour qu’il change, alors que c’est impossible. Il ne peut modifier son rôle dans la pièce de théâtre qui se déroule sous nos yeux. Ce qui est plus surprenant encore, c’est que nous continuions à lui donner nos biens à gérer, nos enfants à éduquer, nos malades à soigner, nos ressources à exploiter…

Pourquoi nous comporter de la sorte ? Par peur. Nous troquons notre identité, notre pouvoir, notre libre arbitre, le produit de notre travail contre des promesses de sécurité et de protection. Comme des adolescents qui refusent de quitter la maison et de s’assumer, nous préférons rester sous la tutelle de papa et de nous quereller avec lui pour lui imposer notre volonté. Et papa se fâche, menace et frappe. Vilain papa ou vilain ado ? Ni l’un ni l’autre. La vraie question est la suivante : allons­‐nous demeurer des ados entretenus à la maison ou devenir des adultes autonomes et libres ?

PERSONOCRATIA se souvient de qui elle est : l’autorité suprême. Elle sait que c’est elle qui détient le véritable pouvoir, car c’est elle qui produit biens et services par son travail. Sans elle, gouvern&ments, banquiers et corporations ne peuvent exister. « Quand l’esclave meurt, le maître disparaît », dit le dicton. Il ne peut y avoir de gouvern&ment sans citoyens esclaves consentants.

Personocratia s’émancipe et se comporte en être souverain qu’elle est. À l’offre de débattre des frais de scolarité, elle répond « NON, merci ! » À l’invitation de s’indigner de la hausse des frais de scolarité, elle répond « NON, merci ! » À la gratuité scolaire (et toute autre gratuité), elle répond « NON, merci ! » Elle reprend son pouvoir sur sa vie et ne le troque plus jamais contre des promesses illusoires. Elle est seule créatrice, responsable et garante de sa vie. La guerre est finie. Elle est enfin libre !

Elle est libre de découvrir la connaissance innée qu’elle porte en elle, libre d’explorer la vraie réalité plutôt que de se faire crétiniser par des programmes d’endoctrinement à l’esclavage humain. Ainsi, s’épanouit­‐elle hors des institutions et de leurs contingences financières mondialistes.

Participer ou non participer

Participer ou non participer

À l’annonce que les artistes se mobilisaient au nom de la fierté, de la qualité de vie et de la défense du bien commun, mon cœur a palpité et mon premier réflexe me donna envie d’y participer pour prendre le pouls du réveil de conscience québécois. Puis je me suis posé la question fondamentale de discernement : Cui bono ? c’est à dire à qui profite ce rassemblement ? La réponse se trouve souvent chez ceux qui organisent l’événement et ceux qui le financent. Voici le résultat de mes recherches.

1. Le rassemblement du 22 avril 2012 est organisé par Projets Saint-Laurent, corporation à but non lucratif fondée en 1991, avec l’appui du Programme des Nations Unies pour l’Environnement. En 1995, cette société s’est vu octroyer la mission d’organiser le volet québécois du plus grand événement participatif en environnement au monde : Le Jour de la Terre. Projets Saint-Laurent  est ainsi devenu mandataire de la marque de commerce du Jour de la Terre. Sa mission consiste à sensibiliser le public aux divers problèmes reliés à l’environnement par le biais d’événements publics de nature participative, éducative et culturelle.  BREF, il s’agit d’un événement environnemental annuel, Le Jour de la Terre, qui relève des Nations-Unies. Qui a fondé et manipule les Nations-Unies ? Les banquiers mondiaux, les grands voleurs de la planète.
2. Quant au financement, il s’avère que les trois partenaires principaux sont les suivants : IGA, banque TD, Québecor. Banques et corporations n’ont qu’un seul objectif, les profits de leurs actionnaires à tout prix. Bref, ce sont les grands pollueurs de la planète qui financent le rassemblement du 22 avril.

À l’invitation de participer, je réponds « NON, merci ! »

Le discernement

Le discernement

Le discernement se définit comme la connaissance discriminative parfaite. Sa fonction consiste à faire la différence entre le vrai et le faux.

Nous vivons dans un monde d’illusion où tout est mensonge, fausseté, contre-façon, déformation, même les spiritualités les plus hautes. Beaucoup d’explications nous sont fournies et de solutions nous sont proposées qui relèvent de l’intelligence mentale. Elles sont fausses, mais semblent vraies. Comment savoir?

Seule l’âme détient la vérité et nous la livre non pas par la raison, mais par l’évidence. La réalité ne se discute pas, c’est une certitude. Elle est au-delà du mental. Or, nous n’avons pas encore accès à notre âme – sauf très rarement. Son message pur est tordu par nos corps mental. vital et physique. En attendant d’arriver à l’épuration de leurs vieux conditionnements, voici quelques critères qui permettent d’y voir plus clair et de cesser de confondre l’enfer de la vieille espèce et le paradis de la nouvelle.

Vous trouvez ci-joint en PDF les critères de discernement de Personocratia : Télécharger

Download the PDF file .