Ni bien ni mal, simplement animal !
La Déclaration internationale sur les droits sexuels proposée par l’ONU suscite de vives réactions.
Plutôt que réagir, pourquoi ne pas agir et sortir de l’animalité ?
Pour vous procurer les livres recommandés:
Le livret de Personocratia sur la Famille : https://www.personocratia.com//boutique/livrets-francais/livret-9-la-famille-vers-la-communion-desprit-2/
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Les hommes ne veulent pas d’enfants…de Patrice Berthiaume aux Éditions 180 degrés : https://180degres.com/boutique/
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La Belle sans la bête : Oser sortir de l’animalité féminine de Mireille Fréjeau aux Éditions Trois-Pistoles : https://editionstrois-pistoles.com/boutique/fr/la-belle-sans-la-bete-oser-sortir-de-l-animalite-feminine-p170/
Vive les vacances !
Ai-je bien entendu ?
Je ne sais pas si vous ressentez la même chose que moi, mais je ne crois pas que ce sera pour cette année… du moins, c’est mal parti. Entre la fusillade d’Orlando avec ses 49 morts, le Brexit et ses représailles, l’écroulement financier imminent, l’attentat de Nice avec ses 84 morts et 200 blessés… comment relaxer ?
En sachant ce qui se passe réellement, au delà des apparences. En fait, la Conscience-de-Vérité se répand sur terre et exacerbe au plus haut degré le mensonge du monde d’illusion dans lequel nous baignons. Nous commençons à voir clair. L’absurdité des systèmes auxquels nous avons cru – religion, politique, loi, finance, santé, éducation, famille, société – commence à nous sauter aux yeux. D’où la riposte féroce des forces du mensonge menacées de disparition.
Élevons-nous au-delà du triangle de l’enfer-sur-terre avec ses trois personnages : victime (morts et blessés), bourreau (musulmans), sauveur (gouvernement avec prolongation de « l’état d’urgence » et « renforcement de la sécurité »). Voyons plutôt la réalité qui se cache derrière cette adversité : un cadeau évolutif pour forcer les êtres humains à retrouver leur identité véritable d’individus souverains. Ainsi notre terreur cèdera-t-elle la place à notre gratitude envers les acteurs des événements malheureux. Ainsi la vie a-t-elle un sens.
Les vacances n’étant pas forcément propices à ces réflexions, nous avons décidé d’y pallier en vous présentant la conférence de Ghis donnée à Québec en mai dernier.
Diessement,
Personocratia
Pour visionner la conférence :
DIEUDONNÉ interdit au Canada
Dieudonné, humoriste français de grande réputation, s’est vu refuser l’entrée au Canada cette semaine pour y présenter son spectacle « En Paix ».
Ceux qui aiment Dieudonné sont furieux. Ceux qui ne l’aiment pas se réjouissent. Et chacun(e) y va de ses explications pour justifier sa réaction émotive.
Ce dont il s’agit, en réalité, c’est de censure, rien d’autre. C’est à dire de non-liberté d’expression dans un pays qui se targue de liberté et dont la constitution en garantit le droit à ses citoyens. Étonnant !
Or, la censure se définit comme un « examen, contrôle exercé par une autorité sur les œuvres artistiques, les spectacles, la presse, etc. avant d’en permettre ou non la diffusion».
Il y a donc une relation autorité/obéissance en jeu, de maître dominant à esclave dominé, dans laquelle le maître a le pouvoir d’interdire par la force ce qui ne le sert pas. Sinon, il l’autoriserait. Se pourrait-il qu’il n’aime pas que ses esclaves se politisent et ne s’en tiennent pas à faire rire seulement ? Qu’ils dérogent à la bonne vieille recette « Donnez-leur du pain et des jeux » ? Sinon, ça lui serait égal. Il resterait neutre et pourrait même rigoler avec ses sujets !
Quoi qu’il en soit, toute émotion – et surtout toute discussion – que je vis dans cet incident me permet de constater mon parti-pris, mon manque d’équanimité et ma propre division intérieure, génératrice de conflit et de guerre. Comment trouver la paix, le thème-même du spectacle de Dieudonné ?
En retrouvant mon identité véritable d’autorité suprême, d’individu souverain, dont le corps n’obéit qu’à son âme. Ainsi, autorité et obéissance ne font qu’un. Et la paix se manifeste !
En oubliant qui nous étions, l’esprit créateur de l’univers, nous avons sombré dans la séparation esprit/matière. Nous nous sommes pris pour de pauvres créatures, des moutons peureux, et avons cherché sécurité et protection auprès de faux maîtres, des bergers auxquels nous cédons notre pouvoir et nos biens.
La censure exercée par le Canada à l’endroit de Dieudonné – et bien d’autres d’ailleurs – n’est ni bien ni mal. Elle est en réalité un cadeau évolutif que nous nous offrons pour nous faire prendre conscience de notre état de servitude et des conséquences qui en découlent.
Remercions-nous ainsi que tous les participant(e)s de cette expérience et profitons-en au maximum : mettre fin à notre esclavage millénaire. N’est-ce pas cela que Dieudonné voulait nous proposer à sa façon ?