OUI, Y’a une solution ! – Adieu Papa-État !
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Être ou disparaître, l’heure du choix !
Nous pouvons dire notre vérité, si différente soit-elle de celle des autres.
C’est l’heure de parler !
Comment exprimer sa vérité en se sentant à l’aise ?
J’ai eu l’envie de réaliser et partager le résumé d’une vidéo de Diesse Ghis et Guillaume Lanctôt-Bédard car je la trouve particulièrement adaptée pour nous accompagner dans cette période de confinement physique et d’enchaînement psychique.
J’ai préféré nommé mon résumé “Comment exprimer sa vérité en se sentant à l’aise ?” car ça me paraît plus générique, plus accessible et ça m’intéressait de l’aborder sous l’angle de la communication non violente. (l’interlocuteur Guillaume Lanctôt est formateur en CNV).
Si le texte vous intéresse alors je vous invite à visionner la vidéo dans son intégralité pour une meilleure intégrité. https://www.youtube.com/watch?v=ruK0Fqm3m1g&t=327s
Si vous avez envie d’améliorer ce texte alors n’hésitez pas et faites m’en profiter en retour.
Jean-François Perréard
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Dans cette vidéo, Diesse Ghis Lanctôt s’inquiète du mutisme ambiant alors que, selon elle, l’heure des choix est arrivée. Elle suppose entre-autre que la pression médiatique et sociale ambiante en est à l’origine. Elle fait intervenir son fils Guillaume, formateur en Communication Non Violente (CNV) pour nous proposer des outils qui pourraient nous aider à exprimer et partager nos convictions profondes en gardant de bonnes relations avec notre entourage.
Avant de vouloir partager une vérité, je dois entrer en auto-empathie, être à l’écoute de mes propres émotions, les reconnaître et les accueillir, ce qui aura pour effet de retrouver ma sérénité, donc mes capacités de discernement et voir les solutions. Tant que ma propre peur ne sera pas accueillie et apprivoisée, je vais mal communiquer et ma communication sera contre-productive.
Mais être bien avec soi-même ne suffit pas. Si j’assène ma vérité sans préparer mon interlocuteur, je vais me heurter au travail de la propagande, être taxé de conspirationniste, théoricien du complot, et dresser un mur qui rendra encore ma communication toujours plus contre-productive.
Ainsi, il convient par exemple d’avertir la personne que je ne suis pas branché sur les sources d’information conventionnelles car elles sont au service de l’argent et donc d’un pouvoir dont les intérêts ne sont pas compatibles avec ceux de la majorité de la population. Mes références sont ailleurs et elles peuvent être consultées par ceux qui en feront l’effort.
Puis si je souhaite partager mon point de vue, je demande à mon interlocuteur s’il serait intéressé d’entendre quelque chose qui ne correspond peut-être pas à ce qu’il pense. En effet son consentement change tout.
Si mon interlocuteur refuse d’entendre mon point de vue et qu’il est pourtant capital de le dire, alors il est possible de le “crier en girafe” (selon les termes de la CNV). Pour cela, je dois être clair dans mon intention, je dois prendre la responsabilité de mes opinions, être sincère, bienveillant, engagé et ancré dans ce à quoi je suis au service, c’est à dire au service de l’expression de soi, de l’intégrité de ce qui m’habite, de la préservation de la Liberté et de la dignité.
Et fort de cette énergie d’amour au service de la vie je peux alors élever le ton.
En effet la communication non violente, ce n’est pas être gentil et encore moins être poli mais c’est être authentique. Quand élever la voix n’est pas utilisé pour écraser et dominer l’autre mais pour permettre l’émergence d’une parole alors elle peut être salvatrice car je suis peut-être la seule voix divergente d’un groupe et en ce sens il peut être vital d’insister pour être entendu.
Guillaume nous livre une autre recommandation utile, à savoir que quelque soit la manière utilisée pour exprimer mon message, il y aura probablement des personnes qui réagiront avec hostilité et qui feront des jugements. Or je ne suis pas outillé pour composer avec ce genre de réaction car j’ai été conditionné pour accorder beaucoup d’importance à ce que les autres pensent de moi, et j’ai aussi très peur de ne plus être aimé, d’être étiqueté et d’être rejeté par mon entourage.
Afin de sortir de ce piège, il ne faut plus écouter avec notre tête mais avec notre cœur.
Devant une réaction hostile et jugeante, je prends le temps de respirer, l’autre comprend que j’intègre ce qu’il m’a renvoyé, j’accueille mes réactions et je me rappelle que personne n’a le pouvoir de déterminer ce que je vaux.
Et avec mon cœur je vais porter mon attention non pas sur ce que l’on m’a dit mais sur ce qui est vivant chez l’autre. Il y a fort à parier que je perçoive chez cette personne un besoin de sécurité, d’empathie, d’expression, de stabilité, des besoins que la plupart d’entre nous ne sait pas exprimer autrement que par l’attaque. Il est donc contre-productif de chercher à se justifier et à se défendre sans fin.
Ainsi, au lieu de faire le choix entre « être dans le pouvoir » Ou « être dans l’amour », l’exercice consiste à être à la fois 100% intègre avec moi-même (ne pas abandonner mon pouvoir) et d’être en compassion avec l’autre (rester dans l’amour et être ouvert).
Puis Diesse Ghis conclut en disant que la seule souveraineté qui soit est à l’intérieur de chacun de nous et que la crise actuelle est là pour nous obliger à faire le choix de la responsabilisation. Elle nous dit que la tentation sera grande de nous chercher un sauveur et de nous laisser pucer et esclavager plutôt que de nous émanciper. Elle nous invite à prendre conscience que les autres sont moi car à ce moment là, je ne verrai plus l’autre comme un ennemi mais comme un collaborateur et de là pourra naître une vraie solidarité.
Elle termine en citant “Il vaut mieux être grand et périr plutôt qu’être petit et survivre”
Un résumé réalisé par JF Perréard à partir de la Vidéo de Diesse Ghis et Guillaume Lanctôt-Bédard : “ Être ou disparaître, l’heure du choix !”
Confinement : Participez à la vidéo en Live ce Samedi 21 Mars 2020 à 20h30, heure de France.
Le Nouvel Ordre Mondial a trouvé un moyen d’accélérer son processus d’esclavagisme et de contrôle en jouant sur la peur la plus profonde qui est en nous : la peur de la mort !
…et bien sur toutes les peurs qui vont avec : peur de manquer, peur d’être vacciné, etc.
Personnellement, je ressent le besoin d’échanger avec vous , vous faire partager comment je vis tout ça et aussi écouter et partager vos propres expériences…
Voici le lien vers le Live : https://www.youtube.com/watch?v=DOUh7U3y1s8
Chère Personocratia,
L’année 2020 est jeune, mais pourtant déjà bien mouvementée. Les désordres politique, sanitaire, financier, religieux, climatique atteignent des paroxysmes que l’on ne pouvait imaginer. La peur de la mort s’agite dans tous les sens. Nos belles résolutions de début d’année s’étiolent rapidement… Et pourtant, plus que jamais c’est le temps de nous y accrocher !
Transformons l’âge de FER en l’âge de FAIRE : dire et agir. Être simplement vrai.
* Dire : Transcender la peur du bâton de l’exclusion, la trouille-nouille, et affirmer sa différence avec conviction et fierté. Risquer de s’exposer, informer sans convaincre.
* Agir : Passer à l’action cohérente dès que son âme l’indique clairement. Personnellement, j’ai pris une décision dans ce sens, celle de m’appeler Diesse Ghis (pour me rappeler
que je suis une âme, Diesse, dans un corps, Ghis).
Osons l’impossible, l’infaisable, l’inenvisageable, le jamais vu. C’est l’heure de l’inattendu !
Sur le plan de l’évolution de la conscience humaine, le Québec semble prêt à emboîter le pas à la révolution de conscience amorcée par les Gilets Jaunes en France. Quelle peut être notre contribution ? – Ce que nous portons intensément au fond de nous : la souveraineté. Non pas celle du peuple, ni celle du citoyen, non pas celle du pays ou de la province, mais la souveraineté individuelle de l’âme. Ainsi se précise et se renforce le pont France-Québec-France.
Quant au programme des activités de Personocratia, il se déroulera progressivement au fur et à mesure des événements et au gré de la volonté de Diesse. Voici son contenu actuel :
- Une tournée de conférences de Ghis, les 7, 8, 9 avril, suivie d’un atelier d’un jour, le 18.
- L’atelier de 10 jours de DIESSITÉ, international bilingue français/anglais, avec Ghis, aura lieu au Québec du 1er au 10 juillet 2020. Ouvert à touTEs, sans prérequis.
- Si tu l’as déjà fait et que tu veux le refaire, l’investissement est réduit de moitié.
- Si tu l’as déjà fait et que tu veux le refaire en partie, c’est possible.
- Si tu ne l’as pas fait et que tu ne disposes pas de ce temps en entier, tu peux faire les 3 ou 5 ou 7 premiers jours seulement. Toutefois, seuls les 10 jours servent de prérequis.
✓ Dans tous les cas, contacte Sylvie et informe-nous de ta décision le plus tôt possible pour nous en faciliter l’organisation: contact@personocratia.com
- Le rendez-vous annuel de la DIESSITUDE, international bilingue français/anglais, aura lieu au Québec du 8 au 12 octobre 2020. Accessible aux seules personnes ayant le prérequis.
On y approfondit certains sujets particuliers et on transforme nos blocages en flot ininterrompu de possibilités, de créativité et de diffusion.
- Des activités personocratiques variées : conférences, ateliers, rencontres, interviews, entretiens, web-capsules et autres… auront lieu en Amérique et en Europe. Pour information
et détails, voir le site sous l’onglet ACTIVITÉS : https://www.personocratia.com/calendrier/
Visite le site régulièrement et assure-toi que tu es inscritE à l’infolettre et que tu la reçois.
Dans tous les cas, vérifie ta boîte « indésirables » assidûment.
De plus, ajoute l’adresse personocratia@personocratia.com dans ton carnet d’adresse.
L’Esprit du Temps souffle. Laissons-nous porter par Lui et faisons confiance à sa Grâce.
En toute diessitude,
Diesse Ghis pour Personocratia
STOP IT ! À quand la vraie épidémie ?
Les microbes de la nature ne sont pas dangereux. Donc n’ayons pas peur.
Les microbes faits en laboratoire sont dangereux. Donc ayons peur !
Voilà l’équation du mental menteur qui autorise la peur à prendre le dessus.
OR
Il n’existe qu’une seule maladie, c’est la peur.
Il n’existe qu’une seule peur, la peur de la mort.
ALORS QUE
Nous sommes Diesse (Dieu/Déesse), créatrice illimitée et immortelle.
Se pourrait-il que nous ayons oublié qui nous sommes ?
QUE SE PASSE-T-IL ?
L’humanité est en train de prendre fin pour faire place à une nouvelle espèce.
Le monde d’illusion, avec sa biologie animale, ses maladies, sa vieillesse et sa mort comme repos éternel sont en voie de disparition. Et ce qui sera éliminé est exacerbé en fin de course. Ainsi assistons-nous à l’effondrement de tous nos systèmes mortifères – financier, politique, social, climatique, sanitaire – que nous avons créés pour survivre le plus longtemps possible en attendant de mourir. Et si la mort n’existait pas ?!
Voilà le défi que nous nous sommes donné en nous incarnant sur cette terre en ce moment-ci : DÉCOUVRIR QUI NOUS SOMMES RÉELLEMENT et le devenir.
Dans cette optique, l’épidémie d’aujourd’hui et tous les affres actuels et à venir sont une nécessité évolutive. Je dirais même un cadeau évolutif dont nous sommes les créatrices et non les victimes. Nos vieux outils de survie – diagnostic et pronostic, même nos bons remèdes naturels alternatifs – ne fonctionnent plus et c’est tant mieux. Le moment est venu de faire face à la peur, ce « monstre invaincu », car c’est la peur qui a peur de mourir. Apprenons à mourir à la peur plutôt que de mourir de peur. Comme David devant Goliath, sortons notre fronde irrésistible et invincible, l’AMOUR véritable infini que nous sommes.
La vraie épidémie s’en vient, car seul l’Amour est contagieux !
Ghis pour Personocratia
Voici un petit conte qui illustre bien l’action de la peur : La Peur et la Peste
Dans Histoires d’humour et de sagesse, le Père Anthony de Mello raconte :
La Peste était en route vers Damas et croisa à toute vitesse la caravane d’un chef dans le désert.
– « Où allez vous si vite ? » s’enquit le chef.
– « A Damas », répondit la Peste. « J’ai l’intention d’y prendre mille vies. »
Au retour de Damas, la Peste croisa de nouveau la caravane sur son chemin. Le chef lui dit :
– « Ce n’est pas mille vies que vous avez prises, mais bien cinquante mille. »
– « Non, dit la Peste. J’en ai pris mille. C’est la Peur qui a pris le reste. »
Ah non, pas une autre épidémie ! Et Made in China, cette fois-ci !
Je sens que je vais devoir parler encore, une fois de plus, de ce sujet qui aboutit toujours à un nouveau vaccin qui va sortir tout-à-coup d’une boîte
à surprises. Vite ! Vite ! Vite !
Je vais être sincère. J’en ai marre de répéter la même chose depuis la parution de La Mafia médicale, il y a 25 ans déjà. Je suis lasse de mettre
les gens en garde contre les fabricants des épidémies et les fabricants des vaccins. Les deux mêmes mafieux. Mais leur propagande médiatique et leur endossement politique ont vite fait de convaincre la masse de moutons peureux que nous sommes, du bien-fondé de leur cocktail mortifère.
Car, en vérité : pas de peur, pas d’épidémie, pas de vaccin…
Et, à l’horizon, la santé illimitée pour touTEs !
Pendant que je m’interrogeais sur la pertinence de commenter cette nouvelle épidémie, alors que j’ai fait récemment une capsule intitulée
« La farce vaccinale : mieux vaut en rire qu’en pleurer ! », j’ai découvert la vidéo de Jean-Jacques Crèvecoeur sur le Coronavirus : entre fausse épidémie et vrai conditionnement ?
Il traite le sujet d’actualité en détail. Je ne pourrais faire mieux… ni même aussi bien. Alors j’ai décidé de présenter les deux.
Ghis pour Personocratia
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Deuxième entretien de Ghis avec Lionel – Qu’est-ce que Personocratia et son cheminement ?
Personocratia, c’est le pouvoir de gouverner de la personne souveraine. Et son cheminement, c’est son itinéraire ➖l’évolution de conscience➖pour y arriver.