Pour qui voter ?
Ça n’a aucune espèce d’importance.
Que je vote ou ne vote pas, pour un candidat ou pour un autre, le résultat ne changera pas.
Car la décision du politicien gagnant est prise depuis bien longtemps.
La campagne électorale sert à distraire et mêler le peuple pour lui faire croire qu’il choisit.
Et on appelle cela DÉMOCRATIE (demos=peuple; cratie=pouvoir de commander).
Elle consiste à faire croire au peuple qu’il commande, alors qu’il est sans le moindre pouvoir.
Qui commande alors ?
L’ARGENT.
Parce que L’ARGENT MÈNE LE MONDE. Nous le savons, mais nous l’oublions.
Si l’argent mène le monde, il mène le pays et la politique du pays… et de tous les pays.
Une minorité de richissimes mène la majorité de la population de la planète et l’appauvrit toujours davantage pour la contrôler toujours davantage et la réduire à l’esclavage complet.
Aucun pays n’échappe à cette dictature, aussi bien les USA, que le Québec, que le Canada.
C’est la loi du plus fort (animale) qui prévaut, et le plus fort est celui qui a le plus d’argent.
Nous avons assisté au débat des chefs, cette semaine : quels chefs ?
Par définition, un politicien est un pantin, une marionnette commandée par un marionnettiste caché qui tire les ficelles de sa marionnette et lui fait dire/faire ce qu’il veut. Ce dernier obéit aveuglément.
Comment s’appelle le marionnettiste caché derrière le rideau de la scène politique ?
L’ARGENT.
Si le peuple voyait que c’est L’ARGENT qui mène les politiciens, il hurlerait. C’est pour prévenir cette prise de conscience que l’on a établi un paravent entre le peuple et les dirigeants réels. Ce paravent s’appelle le gouvernement.
Les acteurs -politiciens- déambulent, font des discours, des déclarations, des promesses, des débats… sur la scène politique pour distraire les spectateurs. Le théâtre de la dualité, de la division, de la guerre se déroule sous nos yeux et nous prenons cela pour la réalité. On met des étiquettes aux acteurs et on crée des clans pour les spectateurs : droite/gauche, libéral/conservateur, bleu/rouge… comme les bons et les mauvais dans les histoires de Walt Disney. On les fait se disputer entre eux et on fait gagner le bon – le plus fort.
Par conséquent, tous les partis politiques d’un pays sont des ‘oppomêmes’, -comme les appelle David Icke-, opposés en apparence et identiques dans les faits. Les chefs passent, les partis changent…, mais les politiques continuent. Quand le peuple a perdu confiance dans les deux partis, on crée un nouveau parti de diversion, avec un nouveau chef qui promet d’amener le changement… ouf ! La démocratie peut continuer.
Qu’en dit Personocratia ?
Elle se souvient de qui elle est, créatrice toute-puissante, illimitée. Elle est l’autorité suprême et ne peut donc pas se faire gouverner par quelqu’un d’autre qu’elle-même. Elle réalise qu’elle n’a pas besoin de gouvernement et encore moins des financiers cachés derrière. Elle met donc un STOP à sa collaboration à cette pièce de théâtre illusoire. Elle laisse la tragédie poursuivre son destin et quitte son fauteuil de spectatrice. Elle revient à la réalité et retrouve sa liberté. Elle est dorénavant souveraine de sa vie et elle n’obéit qu’à sa conscience. Elle crée la PERSONOCRATIE, à son image et à sa ressemblance.
RENÉE NE VOTE PAS.
RENÉE NE PAYE PAS L’IMPÔT.