En quoi le chemin de Personocratia diffère-t-il de toutes les autres approches spirituelles, magiques, philosophiques, sociales, familiales, politiques, légales, économiques, médicales, scientifiques ou éducationnelles ? Il se démarque de trois façons :
1) Personocratia se situe dans la conscience-de-vérité, au-delà du mental de l’intelligence, là où la réalité fait place à l’illusion.
2) De plus, par cohérence, Personocratia manifeste cette conscience dans tous les domaines de sa vie quotidienne. Sans action, la démarche de conscience est boiteuse et stérile. On fait du sur place. On tourne en rond.
3) Enfin, Personocratia s’emploie à la transformation de conscience. Il s’agit d’une mutation et non d’une amélioration. Ainsi se distingue-t-elle de la croissance personnelle, de l’évolution de conscience ou du transhumanisme – qu’il soit technologique ou magique.
L’être humain sert de transition entre l’animalité inconsciente et la diessité consciente. De cette transformation de conscience émergera un être autre et nouveau, l’être diessique.
Tant que la perception de l’être humain se situe dans son corps mental (ou même son corps « spirituel »), il ne peut concevoir ce qui est au-delà de son vieux monde illusoire limité. Il n’arrive pas à comprendre la démarche radicale (qui va à la racine) et intégrale (qui va jusqu’à la transformation complète) de Personocratia. Il s’évertue à reproduire le passé en essayant, tout au mieux, de l’améliorer.
Or, Personocratia ne reproduit pas, elle crée. Elle fait «STOP & 180°» à la vieille évolution. Elle coupe ses attaches au passé, largue ses habitudes physiques, ses désirs vitaux, ses croyances mentales, et s’engage sur un chemin sans chemin, à la découverte de l’être diessique tout-puissant, sans peur et sans ego, qu’elle est réellement.